Expositions en cours et à venir
culture |
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Expo | Liv Stromquist, bédéiste hors cases15 Mar15 Mar...
Des planches de BD au ton décomplexé…
Le patriarcat, les relations de pouvoir, l’hétéronormativité, l’amour, la rationalité, le capitalisme, l’écologie… La bédéiste suédoise Liv Strömquist, devenue Docteure Honoris Causa de l’UCLouvain en 2021, passe au crible de sa plume subversive, critique et ironique, une infinité de questions sociales et politiques de notre temps.
De son trait vivant et décomplexé, Liv Stromquist vulgarise des théories et des concepts en les émaillant de culture pop… Whitney Houston, Lady Diana , Britney Spears ou Mickaël Jackson sont ainsi convoqués dans ses planches, pour illustrer ses propos.
Dans l’espace d’exposition du Forum des Halles seront exposées de grandes reproductions de ses oeuvres, accompagnées de commentaires et de notes d’expert·es de l’UCLouvain (Véronique Bragard, Olivier de Schutter, Geneviève Fabry, Corentin Lahouste, Camille Tilleul, Tania Van Hemmelryck et Benoît Crucifix [UGhent]).
Exposition mise sur pied par l’équipe d’UCLouvain Culture, en partenariat avec Véronique Bragard (FIAL, INCAL) et Corentin Lahouste (FIAL, INCAL).
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Infos pratiquesLe vernissage se tiendra le mardi 15 mars à 18h
L’entrée est gratuite
L’exposition est ouverte du lundi au jeudi de 10h à 18h et le vendredi de 10h à 16hACCES
L'espace Arte-Fac se trouve au rez-de-chaussée du Learning Center Hippocrate situé Centre Faculté Nord. L'entrée se fait par le Passage Morren (Plan H3).
En savoir plusExpo | Liv Stromquist, bédéiste hors cases15 Mar15 Mar...Des planches de BD au ton décomplexé…
Le patriarcat, les relations de pouvoir, l’hétéronormativité, l’amour, la rationalité, le capitalisme, l’écologie… La bédéiste suédoise Liv Strömquist, devenue Docteure Honoris Causa de l’UCLouvain en 2021, passe au crible de sa plume subversive, critique et ironique, une infinité de questions sociales et politiques de notre temps.
De son trait vivant et décomplexé, Liv Stromquist vulgarise des théories et des concepts en les émaillant de culture pop… Whitney Houston, Lady Diana , Britney Spears ou Mickaël Jackson sont ainsi convoqués dans ses planches, pour illustrer ses propos.
Dans l’espace d’exposition du Forum des Halles seront exposées de grandes reproductions de ses oeuvres, accompagnées de commentaires et de notes d’expert·es de l’UCLouvain (Véronique Bragard, Olivier de Schutter, Geneviève Fabry, Corentin Lahouste, Camille Tilleul, Tania Van Hemmelryck et Benoît Crucifix [UGhent]).
Exposition mise sur pied par l’équipe d’UCLouvain Culture, en partenariat avec Véronique Bragard (FIAL, INCAL) et Corentin Lahouste (FIAL, INCAL).
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Infos pratiquesLe vernissage se tiendra le mardi 15 mars à 18h
L’entrée est gratuite
L’exposition est ouverte du lundi au jeudi de 10h à 18h et le vendredi de 10h à 16hACCES
L'espace Arte-Fac se trouve au rez-de-chaussée du Learning Center Hippocrate situé Centre Faculté Nord. L'entrée se fait par le Passage Morren (Plan H3).
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Exposition | JULOS BEAUCARNE - Mon métier c'est de vous dire que tout est possible04 May30 Jun...
Figure incontournable de notre Wallonie, le poète Julos Beaucarne nous a quittés en septembre 2021. Au travers de sa vie et de son œuvre, Julos nous transmet un message puissant de résilience et d’humanité : Il faut s’aimer à tort et à travers écrira-t-il au lendemain de l’assassinat de son épouse. UCLouvain Culture lui rend hommage au travers d'une exposition itinérante qui présente de nombreux textes, photographies, images d’archives et objets issus de son univers. Elle fera escale dans différentes bibliothèques et espaces culturels de Wallonie grâce au Réseau des Bibliothèques Publiques.
Entrer dans l’univers de Julos Beaucarne, c’est pousser la porte de l’enfance, tissée des « souvenances » du poète… de la campagne wallonne et de cette langue « venue à pied du fond des âges » ; c’est redécouvrir un surréalisme malicieux parsemé de « virelangues » ludiques et insolites ; c’est se souvenir d’une utopie écologiste dont il est précurseur; c’est se bercer des valeurs de tolérance et d’ouverture dont toute son œuvre est porteuse.
Ne vous arrêtez pas au pull arc-en-ciel ou à La Petite Gayole… Julos est bien plus que cela. Artiste complet (poète, musicien, chanteur, comédien, sculpteur, performeur…) Julos est le témoin de son temps. Depuis les années 60, il dresse sa plume contre les violences et les injustices du monde, défend tous les opprimés, chante la nature, les arbres, le vivant, incarne la cause écologique, la résilience, la joie…
Mais quelqu’ils soient, ses combats sont dénués de toute violence. Sa seule réponse a toujours été la bienveillance et l’amour. Ses très nombreux amis de par le monde sont unanimes : Julos est dans la vie comme sur scène : il ne triche pas.
Si aujourd’hui ses disques et ses livres sont souvent rangés dans les bibliothèques des grands-parents, nul doute que son message est plus que jamais essentiel pour la jeune génération qui y puisera des réponses pour construire le monde de demain. Un monde plus juste, plus résilient, plus humain.
Infos pratiques
NOTRE EXPOSITION JULOS BEAUCARNE PREND LA ROUTE DES BIBLIOTHEQUES ET DES CENTRES CULTURELS DE WALLONIE!
Elle est en ce moment présentée à la Bibliothèque de Louvain-La-Neuve, Place Galilée, du 4 mai au 30 juin. Voir les heures d'ouverture de la Bibliothèque.
Dans le cadre de l'exposition, Point Culture et UCLouvain Culture vous convient à une rencontre avec le linguiste Michel Francard. InfosEn savoir plusExposition | JULOS BEAUCARNE - Mon métier c'est de vous dire que tout est possible04 May30 Jun...Figure incontournable de notre Wallonie, le poète Julos Beaucarne nous a quittés en septembre 2021. Au travers de sa vie et de son œuvre, Julos nous transmet un message puissant de résilience et d’humanité : Il faut s’aimer à tort et à travers écrira-t-il au lendemain de l’assassinat de son épouse. UCLouvain Culture lui rend hommage au travers d'une exposition itinérante qui présente de nombreux textes, photographies, images d’archives et objets issus de son univers. Elle fera escale dans différentes bibliothèques et espaces culturels de Wallonie grâce au Réseau des Bibliothèques Publiques.
Entrer dans l’univers de Julos Beaucarne, c’est pousser la porte de l’enfance, tissée des « souvenances » du poète… de la campagne wallonne et de cette langue « venue à pied du fond des âges » ; c’est redécouvrir un surréalisme malicieux parsemé de « virelangues » ludiques et insolites ; c’est se souvenir d’une utopie écologiste dont il est précurseur; c’est se bercer des valeurs de tolérance et d’ouverture dont toute son œuvre est porteuse.
Ne vous arrêtez pas au pull arc-en-ciel ou à La Petite Gayole… Julos est bien plus que cela. Artiste complet (poète, musicien, chanteur, comédien, sculpteur, performeur…) Julos est le témoin de son temps. Depuis les années 60, il dresse sa plume contre les violences et les injustices du monde, défend tous les opprimés, chante la nature, les arbres, le vivant, incarne la cause écologique, la résilience, la joie…
Mais quelqu’ils soient, ses combats sont dénués de toute violence. Sa seule réponse a toujours été la bienveillance et l’amour. Ses très nombreux amis de par le monde sont unanimes : Julos est dans la vie comme sur scène : il ne triche pas.
Si aujourd’hui ses disques et ses livres sont souvent rangés dans les bibliothèques des grands-parents, nul doute que son message est plus que jamais essentiel pour la jeune génération qui y puisera des réponses pour construire le monde de demain. Un monde plus juste, plus résilient, plus humain.
Infos pratiques
NOTRE EXPOSITION JULOS BEAUCARNE PREND LA ROUTE DES BIBLIOTHEQUES ET DES CENTRES CULTURELS DE WALLONIE!
Elle est en ce moment présentée à la Bibliothèque de Louvain-La-Neuve, Place Galilée, du 4 mai au 30 juin. Voir les heures d'ouverture de la Bibliothèque.
Dans le cadre de l'exposition, Point Culture et UCLouvain Culture vous convient à une rencontre avec le linguiste Michel Francard. Infos
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Exposition | Micro-Art05 May31 May...
Les chercheuses et chercheurs du Secteur des Sciences de la Santé de l’UCLouvain, Arte-Fac et UCLouvain Culture vous invitent à un voyage au coeur de l’invisible.
Par le biais de microscopes, d’IRM ou autres appareils spécialisés, scientifiques et médecins capturent quotidiennement l’infiniment petit, invisible à l’oeil nu.
De janvier à mars 2023, un concours a été organisé sur le campus de l’UCLouvain Woluwe afin de récolter les créations scientifico-artistiques des membres de la communauté. Une mise en valeur des travaux scientifiques selon un angle moins conventionnel, une invitation à dévoiler la facette artistiques insoupçonnée de la science et à révéler la beauté, la poésie et le mystère des images capturées au quotidien.
A mi-chemin entre photographie et art abstrait, ces images s’apparentent à de véritables oeuvres d’art.
Plus d’une centaine d’images scientifiques et médicales ont été proposées. Un comité en a retenu une quarantaine qui constitueront l’exposition présentée à Arte-Fac.
L’exposition se déroulera du 2 au 31 mai 2023 dans l’Espace Arte-Fac (rez-de-chaussée de la Bibliothèque des sciences de la Santé, sur le campus UCLouvain Woluwe). L’Espace est librement accessible tous les jours de la semaine (Lundi : 12h-17h - Mardi : 12h-18h30 - Mercredi : 13h-17h - Jeudi : 12h-18h30 - Vendredi : 13h-17h).
Tout au long de celle-ci, un vote du public sera mis en place. Passez découvrir ces merveilles de l’infiniment petit et n’hésitez pas à venir élire votre oeuvre favorite!
Vernissage le jeudi 4/5 à 18h30
En savoir plusExposition | Micro-Art05 May31 May...Les chercheuses et chercheurs du Secteur des Sciences de la Santé de l’UCLouvain, Arte-Fac et UCLouvain Culture vous invitent à un voyage au coeur de l’invisible.
Par le biais de microscopes, d’IRM ou autres appareils spécialisés, scientifiques et médecins capturent quotidiennement l’infiniment petit, invisible à l’oeil nu.
De janvier à mars 2023, un concours a été organisé sur le campus de l’UCLouvain Woluwe afin de récolter les créations scientifico-artistiques des membres de la communauté. Une mise en valeur des travaux scientifiques selon un angle moins conventionnel, une invitation à dévoiler la facette artistiques insoupçonnée de la science et à révéler la beauté, la poésie et le mystère des images capturées au quotidien.
A mi-chemin entre photographie et art abstrait, ces images s’apparentent à de véritables oeuvres d’art.
Plus d’une centaine d’images scientifiques et médicales ont été proposées. Un comité en a retenu une quarantaine qui constitueront l’exposition présentée à Arte-Fac.
L’exposition se déroulera du 2 au 31 mai 2023 dans l’Espace Arte-Fac (rez-de-chaussée de la Bibliothèque des sciences de la Santé, sur le campus UCLouvain Woluwe). L’Espace est librement accessible tous les jours de la semaine (Lundi : 12h-17h - Mardi : 12h-18h30 - Mercredi : 13h-17h - Jeudi : 12h-18h30 - Vendredi : 13h-17h).
Tout au long de celle-ci, un vote du public sera mis en place. Passez découvrir ces merveilles de l’infiniment petit et n’hésitez pas à venir élire votre oeuvre favorite!
Vernissage le jeudi 4/5 à 18h30
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Expo | Angles morts de la décolonisation belge29 Mar27 Apr...
Vernissage le mardi 28/3 à partir de 18h
Angles morts
de la décolonisation belge
Exercices de bande dessinée documentaire
La bande dessinée permet-elle, de par sa polyphonie et sa polygraphie, de complexifier un dialogue réflexif sur les enjeux décoloniaux ? Ce projet artistique et collaboratif regroupe les travaux des étudiant·es de master à l'École Supérieure des Arts de Saint-Luc (Bruxelles). En parallèle à plusieurs cours et interventions sur les enjeux liés à la (dé)colonialité, ceux·celles-ci ont réalisé un travail d’enquête sur le terrain, à la recherche de divers témoignages sur les traces du passé colonial en Belgique. Les travaux séquentiels qui en résultent abordent, en entremêlant approche documentaire, autobiographie et fiction, les problèmes liés à l’héritage culturel de mémoires invisibilisées (notamment l’espace public et la muséographie), les tabous familiaux, le métissage et les continuités coloniales, sous formes de discriminations ou d’exploitations.
Les planches originales sont accompagnées de légendes rédigées par les étudiant·es de master de l’UCLouvain (FIAL) qui analysent comment le geste décolonial artistique permet un regard critique sur le passé et ses liens avec le présent. Animé d’un dialogue entre recherche et création, ainsi qu’entre Nord et Sud, il clôture avec le film d’animation Machini de Frank Mukunday et Tétshim. En s'inspirant de leur expérience en tant qu'habitants de la ville minière de Lubumbashi, l’œuvre réalisée par ces artistes nous rappelle combien l’extractivisme colonial demeure un enjeu politique majeur.
Coordination : Chloé Andries, Véronique Bragard, Dominique Goblet, Sacha Goerg, Alicia Lambert, Noémie Marsily et Fiona Nziza
Louvain-la-Neuve, Forum des Halles (Office du tourisme - Inforville (Galerie des Halles, Place de l’université)
Ouverture : Lu-Ve 9h-17h / Sa 11h-17h
Vernissage le mardi 28/3 à partir de 18hIllustration: Planche extraite de Maï-Ndombe ©Anna Couesnon
En savoir plusExpo | Angles morts de la décolonisation belge29 Mar27 Apr...Vernissage le mardi 28/3 à partir de 18h
Angles morts
de la décolonisation belge
Exercices de bande dessinée documentaire
La bande dessinée permet-elle, de par sa polyphonie et sa polygraphie, de complexifier un dialogue réflexif sur les enjeux décoloniaux ? Ce projet artistique et collaboratif regroupe les travaux des étudiant·es de master à l'École Supérieure des Arts de Saint-Luc (Bruxelles). En parallèle à plusieurs cours et interventions sur les enjeux liés à la (dé)colonialité, ceux·celles-ci ont réalisé un travail d’enquête sur le terrain, à la recherche de divers témoignages sur les traces du passé colonial en Belgique. Les travaux séquentiels qui en résultent abordent, en entremêlant approche documentaire, autobiographie et fiction, les problèmes liés à l’héritage culturel de mémoires invisibilisées (notamment l’espace public et la muséographie), les tabous familiaux, le métissage et les continuités coloniales, sous formes de discriminations ou d’exploitations.
Les planches originales sont accompagnées de légendes rédigées par les étudiant·es de master de l’UCLouvain (FIAL) qui analysent comment le geste décolonial artistique permet un regard critique sur le passé et ses liens avec le présent. Animé d’un dialogue entre recherche et création, ainsi qu’entre Nord et Sud, il clôture avec le film d’animation Machini de Frank Mukunday et Tétshim. En s'inspirant de leur expérience en tant qu'habitants de la ville minière de Lubumbashi, l’œuvre réalisée par ces artistes nous rappelle combien l’extractivisme colonial demeure un enjeu politique majeur.
Coordination : Chloé Andries, Véronique Bragard, Dominique Goblet, Sacha Goerg, Alicia Lambert, Noémie Marsily et Fiona Nziza
Louvain-la-Neuve, Forum des Halles (Office du tourisme - Inforville (Galerie des Halles, Place de l’université)
Ouverture : Lu-Ve 9h-17h / Sa 11h-17h
Vernissage le mardi 28/3 à partir de 18hIllustration: Planche extraite de Maï-Ndombe ©Anna Couesnon
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EXPO | Deux maisons, un chez soi05 May08 Jun...
Expériences et paroles d’enfants
Comment les jeunes en situation de garde alternée vivent-ils leur quotidien? Quels objets circulent (ou pas) entre les maisons ? Comment faire (ou pas) sa valise ? Quels sont les espaces de transition, les zones tampons, avant de passer d’un espace à l’autre ? Sur base de l'étude sociologique de Laura Merla et Bérengère Nobels, les étudiant·es de la Cambre se sont emparés de ces questions et les restituent au travers de maquettes. Une expo qui interroge de façon originale la question du "chez soi" et du "faire famille".
En Belgique comme ailleurs, des milliers d’enfants et adolescents vivent une situation de garde alternée. Pourtant, on sait très peu de choses sur la façon concrète dont ces jeunes qui alternent entre deux lieux de vie, s’organisent au quotidien.
Vingt et un adolescents de 10 à 16 ans qui vivent en Fédération Wallonie-Bruxelles ont été suivis par Laura Merla et Bérengère Nobels, sociologues au Centre interdisciplinaire de Recherche sur les Familles et les Sexualités de l’UCLouvain, afin de comprendre leurs mode de vie et ses implications.
Vivre dans, et entre deux lieux de vie pose de nombreuses questions :
- Quels objets circulent (ou pas) entre les maisons ? Comment faire (ou pas) sa valise ?
- Quels sont les espaces de transition, les zones tampons, avant de passer d’un espace à l’autre ? Quelles sont les frontières ?
- Comment négocier sa place dans chaque famille ? Et comment rester présent malgré l’absence ?
Naviguant entre des configurations familiales et des systèmes éducatifs parfois complexes et souvent très différents, ces adolescents développent des stratégies et des compétences pour construire un « chez-soi » particulier, un sentiment d’appartenance à de multiples lieux de vie. Leurs témoignages renseignent sur les manières de « faire famille ». Une image apparaît également, au fil des discussions avec eux : celle de deux îles (chaque île est un lieu de résidence), aux contours et contenus différents, mais faisant partie d’un même et unique archipel formant un ensemble cohérent.
Les étudiants en 3ème année Bachelier 3ème année de l’atelier d’Architecture d’intérieur de La Cambre se sont emparés de l’étude avec pour objectif de développer une recherche plastique à partir d’un point marquant, inspirant de l’étude. Neuf projets ont été retenus et sont présentés ici sous la forme d’une maquette, se répartissant en trois catégories :
- les façons de cohabiter,
- les espaces de transition entre les lieux,
- la place des objets.
À VOIR DU 5/5 AU 8/6/2023 - Vernissage le jeudi 4/5/23 à 18h
Au Forum des Halles (Office du Tourisme-Inforville)
Galerie des Halles, Place de l’Université 1, Louvain-la-NeuveEntrée libre du lundi au vendredi de 9h à 17h et le samedi de 11h à 17h
VISITES COMMENTÉES
Le mardi 30 mai de 13h à 14h
Le jeudi 1 juin de 13h à 14hEn savoir plusEXPO | Deux maisons, un chez soi05 May08 Jun...Expériences et paroles d’enfants
Comment les jeunes en situation de garde alternée vivent-ils leur quotidien? Quels objets circulent (ou pas) entre les maisons ? Comment faire (ou pas) sa valise ? Quels sont les espaces de transition, les zones tampons, avant de passer d’un espace à l’autre ? Sur base de l'étude sociologique de Laura Merla et Bérengère Nobels, les étudiant·es de la Cambre se sont emparés de ces questions et les restituent au travers de maquettes. Une expo qui interroge de façon originale la question du "chez soi" et du "faire famille".
En Belgique comme ailleurs, des milliers d’enfants et adolescents vivent une situation de garde alternée. Pourtant, on sait très peu de choses sur la façon concrète dont ces jeunes qui alternent entre deux lieux de vie, s’organisent au quotidien.
Vingt et un adolescents de 10 à 16 ans qui vivent en Fédération Wallonie-Bruxelles ont été suivis par Laura Merla et Bérengère Nobels, sociologues au Centre interdisciplinaire de Recherche sur les Familles et les Sexualités de l’UCLouvain, afin de comprendre leurs mode de vie et ses implications.
Vivre dans, et entre deux lieux de vie pose de nombreuses questions :
- Quels objets circulent (ou pas) entre les maisons ? Comment faire (ou pas) sa valise ?
- Quels sont les espaces de transition, les zones tampons, avant de passer d’un espace à l’autre ? Quelles sont les frontières ?
- Comment négocier sa place dans chaque famille ? Et comment rester présent malgré l’absence ?
Naviguant entre des configurations familiales et des systèmes éducatifs parfois complexes et souvent très différents, ces adolescents développent des stratégies et des compétences pour construire un « chez-soi » particulier, un sentiment d’appartenance à de multiples lieux de vie. Leurs témoignages renseignent sur les manières de « faire famille ». Une image apparaît également, au fil des discussions avec eux : celle de deux îles (chaque île est un lieu de résidence), aux contours et contenus différents, mais faisant partie d’un même et unique archipel formant un ensemble cohérent.
Les étudiants en 3ème année Bachelier 3ème année de l’atelier d’Architecture d’intérieur de La Cambre se sont emparés de l’étude avec pour objectif de développer une recherche plastique à partir d’un point marquant, inspirant de l’étude. Neuf projets ont été retenus et sont présentés ici sous la forme d’une maquette, se répartissant en trois catégories :
- les façons de cohabiter,
- les espaces de transition entre les lieux,
- la place des objets.
À VOIR DU 5/5 AU 8/6/2023 - Vernissage le jeudi 4/5/23 à 18h
Au Forum des Halles (Office du Tourisme-Inforville)
Galerie des Halles, Place de l’Université 1, Louvain-la-NeuveEntrée libre du lundi au vendredi de 9h à 17h et le samedi de 11h à 17h
VISITES COMMENTÉES
Le mardi 30 mai de 13h à 14h
Le jeudi 1 juin de 13h à 14h -
EXPO | Reveal flight, Xavier Bou19 Oct22 Dec...
Rendre visible l’invisible
Le vol des oiseaux migrateurs est un phénomène fascinant. Les bioingénieurs de l’UCLouvain se sont associés au photographe catalan Xavier Bou pour tenter d’en percer les mystères…
Les performances aériennes de certains oiseaux sont déroutantes : la route migratoire de la Barge Rousse relie l’Alaska à la Nouvelle-Zélande, soit près de 12.000 km parcourus sans quitter le ciel et sans ingurgiter de nourriture ! Cela ne peut se faire qu’en interagissant de façon optimale avec le milieu dans lequel cet oiseau évolue, à savoir l’air. Les ingénieurs en aéronautique étudient depuis longtemps les phénomènes complexes qui régissent l’interaction entre des solides, tels des ailes, et un fluide, tel l’air. Mais les outils existants sont peu appropriés pour la dynamique particulière d’un vol avec battement d’ailes.
Le projet « RevealFlight » rassemble une dizaine de chercheurs de l’UCLouvain et vise à développer des outils numériques pour mieux comprendre le vol des oiseaux, aux niveaux individuel et collectif. Au niveau individuel, le vol requiert en effet d’effectuer un mouvement coordonné de toutes les articulations des ailes, afin de prendre appui sur l’air sans être trop ralenti par celui-ci. Au niveau collectif, la signature laissée dans l’air par les individus en tête de volée – appelée la trainée – peut être idéalement exploitée par ceux qui suivent pour réduire leur effort déployé en vol. Les outils développés par les chercheurs de l’UCLouvain permettent de rendre compte et de comprendre ces phénomènes.
Portés par l’émerveillement au cœur de leur projet « RevealFlight », l’équipe de chercheurs a noué des contacts avec le photographe barcelonais Xavi Bou (http://www.xavibou.com). Comme le projet de recherche, son projet artistique vise à rendre visible l’invisible du vol des oiseaux. Ses « ornithographies » permettent en effet de percevoir en une seule photo toute la temporalité de la trajectoire d’un ou plusieurs oiseaux. Les « filaments aviaires » qui en résultent permettent directement d’apprécier la richesse du mouvement des ailes, et donc d’inspirer la recherche fondamentale. Au travers du développement d’outils numériques permettant « d’augmenter » les dimensions d’une simulation ou d’une photographie de vol, cette collaboration entre scientifiques et artiste a permis d’enrichir la perception de ce phénomène naturel fascinant.
Cette exposition présente le travail fascinant de Xavi Bou ainsi que les avancées de ce projet de recherche-création.
Vernissage mar 18/10, 18h
En pratique
Adresse : Galerie des Halles, Place de l'Université 1, 1348 Ottignies-Louvain-la-NeuveEntrée libre du lundi au vendredi de 9h à 17h et le samedi de 11h à 17h
En savoir plusEXPO | Reveal flight, Xavier Bou19 Oct22 Dec...Rendre visible l’invisible
Le vol des oiseaux migrateurs est un phénomène fascinant. Les bioingénieurs de l’UCLouvain se sont associés au photographe catalan Xavier Bou pour tenter d’en percer les mystères…
Les performances aériennes de certains oiseaux sont déroutantes : la route migratoire de la Barge Rousse relie l’Alaska à la Nouvelle-Zélande, soit près de 12.000 km parcourus sans quitter le ciel et sans ingurgiter de nourriture ! Cela ne peut se faire qu’en interagissant de façon optimale avec le milieu dans lequel cet oiseau évolue, à savoir l’air. Les ingénieurs en aéronautique étudient depuis longtemps les phénomènes complexes qui régissent l’interaction entre des solides, tels des ailes, et un fluide, tel l’air. Mais les outils existants sont peu appropriés pour la dynamique particulière d’un vol avec battement d’ailes.
Le projet « RevealFlight » rassemble une dizaine de chercheurs de l’UCLouvain et vise à développer des outils numériques pour mieux comprendre le vol des oiseaux, aux niveaux individuel et collectif. Au niveau individuel, le vol requiert en effet d’effectuer un mouvement coordonné de toutes les articulations des ailes, afin de prendre appui sur l’air sans être trop ralenti par celui-ci. Au niveau collectif, la signature laissée dans l’air par les individus en tête de volée – appelée la trainée – peut être idéalement exploitée par ceux qui suivent pour réduire leur effort déployé en vol. Les outils développés par les chercheurs de l’UCLouvain permettent de rendre compte et de comprendre ces phénomènes.
Portés par l’émerveillement au cœur de leur projet « RevealFlight », l’équipe de chercheurs a noué des contacts avec le photographe barcelonais Xavi Bou (http://www.xavibou.com). Comme le projet de recherche, son projet artistique vise à rendre visible l’invisible du vol des oiseaux. Ses « ornithographies » permettent en effet de percevoir en une seule photo toute la temporalité de la trajectoire d’un ou plusieurs oiseaux. Les « filaments aviaires » qui en résultent permettent directement d’apprécier la richesse du mouvement des ailes, et donc d’inspirer la recherche fondamentale. Au travers du développement d’outils numériques permettant « d’augmenter » les dimensions d’une simulation ou d’une photographie de vol, cette collaboration entre scientifiques et artiste a permis d’enrichir la perception de ce phénomène naturel fascinant.
Cette exposition présente le travail fascinant de Xavi Bou ainsi que les avancées de ce projet de recherche-création.
Vernissage mar 18/10, 18h
En pratique
Adresse : Galerie des Halles, Place de l'Université 1, 1348 Ottignies-Louvain-la-NeuveEntrée libre du lundi au vendredi de 9h à 17h et le samedi de 11h à 17h
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Expo | Eclaboulinures! Par Mu Blondeau28 Sep03 Nov...
Dessins vivants à partir d’organismes marins bioluminescents
Dans la perspective de son 600ème anniversaire (en 2025), l’UCLouvain souhaite valoriser son patrimoine scientifique. Issu de toutes les disciplines scientifiques, ce patrimoine précieux et diversifié est le témoin matériel de l’évolution des pratiques scientifiques et pédagogiques. Tous ces instruments, spécimens et machines donnent à voir la passion des chercheurs, la créativité des techniciens et la diversité passée du monde naturel. Aujourd’hui encore ces collections peuvent être source d’inspiration, de création, d’expérimentation et d’invention, tant pour le chercheur que pour l’artiste. UCLouvain Culture souhaite proposer une rencontre entre ces collections patrimoniales et des artistes contemporains. C’est dans ce contexte que le service culturel de l’université présente le travail de l'artiste Mu Blondeau qui poursuit actuellement un doctorat en art et sciences de l’art à l’UCLouvain.
Diplômée de ARTs², Mu Blondeau est narratrice visuelle et autrice belge. Ses explorations la mènent vers des récits graphiques à la poésie grinçante. Métamorphoses, enchevêtrements, bestiaires réinventés, ses dessins courtisent le cadavre exquis et l’hagiographie revisitée. Mais c’est surtout la question de la Monstruosité, de son point de basculement vers une transformation des codes et de ses mises en narration, qui lui apparait comme révélatrice d’une ultime quête de sens. L’hybridation qu’elle implique l’attire vers un abîme du non-retour.
Son projet en Art et Sciences de l’Art ancré dans les laboratoires de biologie marine, lui permet de transgresser les genres et de mettre au point de réels dessins vivants à partir d’organismes marins bioluminescents.
Infos pratiques
Avenue Hippocrate 50, 1200 Bruxelles
artefac@uclouvain.be
+32 2 764 43 29Heures d'ouvertures
LU 12h > 17h - MA 12h > 18h30 - ME 13h > 17h - JE 12h > 18h30 - VE 13h > 17hEn savoir plusExpo | Eclaboulinures! Par Mu Blondeau28 Sep03 Nov...Dessins vivants à partir d’organismes marins bioluminescents
Dans la perspective de son 600ème anniversaire (en 2025), l’UCLouvain souhaite valoriser son patrimoine scientifique. Issu de toutes les disciplines scientifiques, ce patrimoine précieux et diversifié est le témoin matériel de l’évolution des pratiques scientifiques et pédagogiques. Tous ces instruments, spécimens et machines donnent à voir la passion des chercheurs, la créativité des techniciens et la diversité passée du monde naturel. Aujourd’hui encore ces collections peuvent être source d’inspiration, de création, d’expérimentation et d’invention, tant pour le chercheur que pour l’artiste. UCLouvain Culture souhaite proposer une rencontre entre ces collections patrimoniales et des artistes contemporains. C’est dans ce contexte que le service culturel de l’université présente le travail de l'artiste Mu Blondeau qui poursuit actuellement un doctorat en art et sciences de l’art à l’UCLouvain.
Diplômée de ARTs², Mu Blondeau est narratrice visuelle et autrice belge. Ses explorations la mènent vers des récits graphiques à la poésie grinçante. Métamorphoses, enchevêtrements, bestiaires réinventés, ses dessins courtisent le cadavre exquis et l’hagiographie revisitée. Mais c’est surtout la question de la Monstruosité, de son point de basculement vers une transformation des codes et de ses mises en narration, qui lui apparait comme révélatrice d’une ultime quête de sens. L’hybridation qu’elle implique l’attire vers un abîme du non-retour.
Son projet en Art et Sciences de l’Art ancré dans les laboratoires de biologie marine, lui permet de transgresser les genres et de mettre au point de réels dessins vivants à partir d’organismes marins bioluminescents.
Infos pratiques
Avenue Hippocrate 50, 1200 Bruxelles
artefac@uclouvain.be
+32 2 764 43 29Heures d'ouvertures
LU 12h > 17h - MA 12h > 18h30 - ME 13h > 17h - JE 12h > 18h30 - VE 13h > 17h -
Expo | Fossiles & Fictions25 Nov14 May...
Après nous les méduses?
Que nous révèlent les fossiles du passé du monde vivant ? Quelle place occupons-nous dans notre écosystème fragile ? Quelle empreinte laisserons-nous de nos civilisations, de nos déchets, de nos technologies ? L’exposition Fossiles & Fictions vous emmène dans un passionnant voyage entre les origines de la vie et son devenir.
En présentant une sélection de spécimens, mêlant originaux et moulages, l’exposition donnera à voir l’incroyable diversité d’un monde disparu en nous plongeant dans la longue histoire de l’évolution, toujours en cours d’écriture. Les anciens fossiles constituent de précieux témoins pour comprendre les changements et les défis environnementaux auxquels nous faisons face aujourd’hui.
L’exposition sollicite également l’imaginaire de manière spéculative et inventive. On pourra y découvrir les créations originales d’étudiant·es en arts visuels de l’école ARTS² qui ont exploré différents médias pour proposer des évolutions humaines et non humaines alternatives. Et imaginer des « fossiles du futur » : les empreintes que les espèces actuelles laisseront dans les millions d’années à venir…
Vernissage le 24/11/2022 (Sur inscription, lien à venir)
En savoir plusExpo | Fossiles & Fictions25 Nov14 May...Après nous les méduses?
Que nous révèlent les fossiles du passé du monde vivant ? Quelle place occupons-nous dans notre écosystème fragile ? Quelle empreinte laisserons-nous de nos civilisations, de nos déchets, de nos technologies ? L’exposition Fossiles & Fictions vous emmène dans un passionnant voyage entre les origines de la vie et son devenir.
En présentant une sélection de spécimens, mêlant originaux et moulages, l’exposition donnera à voir l’incroyable diversité d’un monde disparu en nous plongeant dans la longue histoire de l’évolution, toujours en cours d’écriture. Les anciens fossiles constituent de précieux témoins pour comprendre les changements et les défis environnementaux auxquels nous faisons face aujourd’hui.
L’exposition sollicite également l’imaginaire de manière spéculative et inventive. On pourra y découvrir les créations originales d’étudiant·es en arts visuels de l’école ARTS² qui ont exploré différents médias pour proposer des évolutions humaines et non humaines alternatives. Et imaginer des « fossiles du futur » : les empreintes que les espèces actuelles laisseront dans les millions d’années à venir…
Vernissage le 24/11/2022 (Sur inscription, lien à venir)
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Expo | Liv Stromquist, bédéiste hors cases15 Mar15 Mar...
Des planches de BD au ton décomplexé…
Le patriarcat, les relations de pouvoir, l’hétéronormativité, l’amour, la rationalité, le capitalisme, l’écologie… La bédéiste suédoise Liv Strömquist, devenue Docteure Honoris Causa de l’UCLouvain en 2021, passe au crible de sa plume subversive, critique et ironique, une infinité de questions sociales et politiques de notre temps.
De son trait vivant et décomplexé, Liv Stromquist vulgarise des théories et des concepts en les émaillant de culture pop… Whitney Houston, Lady Diana , Britney Spears ou Mickaël Jackson sont ainsi convoqués dans ses planches, pour illustrer ses propos.
Dans l’espace d’exposition du Forum des Halles seront exposées de grandes reproductions de ses oeuvres, accompagnées de commentaires et de notes d’expert·es de l’UCLouvain (Véronique Bragard, Olivier de Schutter, Geneviève Fabry, Corentin Lahouste, Camille Tilleul, Tania Van Hemmelryck et Benoît Crucifix [UGhent]).
Exposition mise sur pied par l’équipe d’UCLouvain Culture, en partenariat avec Véronique Bragard (FIAL, INCAL) et Corentin Lahouste (FIAL, INCAL).
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Infos pratiquesLe vernissage se tiendra le mardi 15 mars à 18h
L’entrée est gratuite
L’exposition est ouverte du lundi au jeudi de 10h à 18h et le vendredi de 10h à 16hACCES
L'espace Arte-Fac se trouve au rez-de-chaussée du Learning Center Hippocrate situé Centre Faculté Nord. L'entrée se fait par le Passage Morren (Plan H3).
En savoir plusExpo | Liv Stromquist, bédéiste hors cases15 Mar15 Mar...Des planches de BD au ton décomplexé…
Le patriarcat, les relations de pouvoir, l’hétéronormativité, l’amour, la rationalité, le capitalisme, l’écologie… La bédéiste suédoise Liv Strömquist, devenue Docteure Honoris Causa de l’UCLouvain en 2021, passe au crible de sa plume subversive, critique et ironique, une infinité de questions sociales et politiques de notre temps.
De son trait vivant et décomplexé, Liv Stromquist vulgarise des théories et des concepts en les émaillant de culture pop… Whitney Houston, Lady Diana , Britney Spears ou Mickaël Jackson sont ainsi convoqués dans ses planches, pour illustrer ses propos.
Dans l’espace d’exposition du Forum des Halles seront exposées de grandes reproductions de ses oeuvres, accompagnées de commentaires et de notes d’expert·es de l’UCLouvain (Véronique Bragard, Olivier de Schutter, Geneviève Fabry, Corentin Lahouste, Camille Tilleul, Tania Van Hemmelryck et Benoît Crucifix [UGhent]).
Exposition mise sur pied par l’équipe d’UCLouvain Culture, en partenariat avec Véronique Bragard (FIAL, INCAL) et Corentin Lahouste (FIAL, INCAL).
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Infos pratiquesLe vernissage se tiendra le mardi 15 mars à 18h
L’entrée est gratuite
L’exposition est ouverte du lundi au jeudi de 10h à 18h et le vendredi de 10h à 16hACCES
L'espace Arte-Fac se trouve au rez-de-chaussée du Learning Center Hippocrate situé Centre Faculté Nord. L'entrée se fait par le Passage Morren (Plan H3).
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Expo | De Re Metallica (Woluwé)30 Apr20 May...
De Re Metallica
Gestes et matières de l’atelier médiévalUne expositionphotographique proposée par UCLouvain Culture et l'Institut des civilisations, arts et lettres (INCAL/UCLouvain)
Dans la perspective du 600ème anniversaire de l’Université catholique de Louvain et des 50 ans du Centre de recherches d’archéologie nationale (CRAN/INCAL), l’exposition photographique qui tire son titre du traité fondateur des sciences géologiques, minéralogiques et métallurgiques de Georgius Agricola (1556) - De Re Metallica – valorise les recherches en paléométallurgie conduites par Lise Saussus, chargée de recherches FRS-FNRS. C’est cependant la portée esthétique de l’image du microscope, des macrophotographies ou encore des vues d’ambiance collectées sur le terrain qui est ici mise en avant.
Lire plusDes canalisations aux téléphones portables, en passant par de nombreuses autres applications insoupçonnées, le cuivre et ses alliages sont aujourd’hui utilisés dans bon nombre de secteurs de l’économie mondiale. À la fin du Moyen Âge, bien que les quantités ne soient pas comparables, ces métaux inondent le marché européen, de la bijouterie fantaisie aux ustensiles de cuisine, sans oublier les cloches, les canons, les statues. Les photographies présentées dans cette exposition sont extraites de carnets de recherche autour de cette métallurgie médiévale, constitués au cours d’une thèse de doctorat et d’un postdoctorat menés à l’UCLouvain.
Ces travaux sont aussi le fruit de collaborations, d’une équipe formée d’archéologues, d’historiens, d’archéométallurgistes et de spécialistes de l’analyse des matériaux. Centrée sur la métallurgie des alliages à base de cuivre entre Meuse et Seine, cette recherche s’intéresse en particulier à la diffusion des objets de cuivre de bronze et de laiton du 5e et 15e siècles, aux cadres de leurs productions, aux techniques de fabrication.
Vaste période durant laquelle le statut des objets change, mais aussi la façon de les consommer, et avec elle le rapport aux choses. La gestion des ressources évolue aussi au Moyen Âge. Alors que les mines de cuivre sont le plus souvent lointaines et le transport coûteux, le commerce et la consommation des objets neufs alimentent d’autres circuits d’approvisionnement : ceux de la récupération et du recyclage. Les villes deviennent de véritables « mines » de métal. Les objets y sont découpés, redécoupés, rassemblés, recyclés, encore et encore, un cycle quasiment sans fin qui résonne aujourd’hui à l’ère de l’obsolescence programmée dans un monde aux ressources inextensibles. Grâce à ses propriétés, près de 40% du cuivre aujourd’hui consommé en Europe provient du recyclage.
La plupart des photographies illustrent des objets ou des déchets de production. Par la restitution des espaces de travail, des techniques, des chaînes opératoires, des capitaux engagés dans les affaires, c’est aussi l’homme au travail que l’on entrevoit dans l’atelier et sur les marchés. L’objectif du chercheur dépasse toutefois le cadre strict de l’activité métallurgique. À travers elle, se dessinent les liens étroits entre économie, modes de vie et pratiques sociales, autant de fragments de la société médiévale qui apparaissent et dont l’altérité se heurte parfois avec celle d’aujourd’hui.
Ces images, collectées ici et là, saisies par l’appareil photographique ou le microscope, sont autant d’indices que l’homme est intimement lié à la matière, aux objets qu’il produit et qu’il utilise dans son quotidien. Elles montrent aussi le lien entre la technique et la poésie, entre l’art et la beauté des matériaux, parfois de façon inattendue au moment d’un cadrage, d’une échelle d’observation, d’une profondeur de champ où le banal devient soudainement déconcertant. Ces clichés révèlent encore que le chercheur peut se laisser surprendre, dans son cheminement, à la recherche « des preuves qui ne seraient point des flammes » comme l’écrivait Gaston Bachelard dans l’avant-propos de La psychanalyse du feu.
Expo à découvrir à l'espace Arte-Fac de Woluwé
Du 30/04 au 20/5
L'espace Arte-Fac est ouvert du lundi au jeudi de 10h à 18h et le vendredi de 10h à 16h
En savoir plusExpo | De Re Metallica (Woluwé)30 Apr20 May...De Re Metallica
Gestes et matières de l’atelier médiévalUne expositionphotographique proposée par UCLouvain Culture et l'Institut des civilisations, arts et lettres (INCAL/UCLouvain)
Dans la perspective du 600ème anniversaire de l’Université catholique de Louvain et des 50 ans du Centre de recherches d’archéologie nationale (CRAN/INCAL), l’exposition photographique qui tire son titre du traité fondateur des sciences géologiques, minéralogiques et métallurgiques de Georgius Agricola (1556) - De Re Metallica – valorise les recherches en paléométallurgie conduites par Lise Saussus, chargée de recherches FRS-FNRS. C’est cependant la portée esthétique de l’image du microscope, des macrophotographies ou encore des vues d’ambiance collectées sur le terrain qui est ici mise en avant.
Lire plusDes canalisations aux téléphones portables, en passant par de nombreuses autres applications insoupçonnées, le cuivre et ses alliages sont aujourd’hui utilisés dans bon nombre de secteurs de l’économie mondiale. À la fin du Moyen Âge, bien que les quantités ne soient pas comparables, ces métaux inondent le marché européen, de la bijouterie fantaisie aux ustensiles de cuisine, sans oublier les cloches, les canons, les statues. Les photographies présentées dans cette exposition sont extraites de carnets de recherche autour de cette métallurgie médiévale, constitués au cours d’une thèse de doctorat et d’un postdoctorat menés à l’UCLouvain.
Ces travaux sont aussi le fruit de collaborations, d’une équipe formée d’archéologues, d’historiens, d’archéométallurgistes et de spécialistes de l’analyse des matériaux. Centrée sur la métallurgie des alliages à base de cuivre entre Meuse et Seine, cette recherche s’intéresse en particulier à la diffusion des objets de cuivre de bronze et de laiton du 5e et 15e siècles, aux cadres de leurs productions, aux techniques de fabrication.
Vaste période durant laquelle le statut des objets change, mais aussi la façon de les consommer, et avec elle le rapport aux choses. La gestion des ressources évolue aussi au Moyen Âge. Alors que les mines de cuivre sont le plus souvent lointaines et le transport coûteux, le commerce et la consommation des objets neufs alimentent d’autres circuits d’approvisionnement : ceux de la récupération et du recyclage. Les villes deviennent de véritables « mines » de métal. Les objets y sont découpés, redécoupés, rassemblés, recyclés, encore et encore, un cycle quasiment sans fin qui résonne aujourd’hui à l’ère de l’obsolescence programmée dans un monde aux ressources inextensibles. Grâce à ses propriétés, près de 40% du cuivre aujourd’hui consommé en Europe provient du recyclage.
La plupart des photographies illustrent des objets ou des déchets de production. Par la restitution des espaces de travail, des techniques, des chaînes opératoires, des capitaux engagés dans les affaires, c’est aussi l’homme au travail que l’on entrevoit dans l’atelier et sur les marchés. L’objectif du chercheur dépasse toutefois le cadre strict de l’activité métallurgique. À travers elle, se dessinent les liens étroits entre économie, modes de vie et pratiques sociales, autant de fragments de la société médiévale qui apparaissent et dont l’altérité se heurte parfois avec celle d’aujourd’hui.
Ces images, collectées ici et là, saisies par l’appareil photographique ou le microscope, sont autant d’indices que l’homme est intimement lié à la matière, aux objets qu’il produit et qu’il utilise dans son quotidien. Elles montrent aussi le lien entre la technique et la poésie, entre l’art et la beauté des matériaux, parfois de façon inattendue au moment d’un cadrage, d’une échelle d’observation, d’une profondeur de champ où le banal devient soudainement déconcertant. Ces clichés révèlent encore que le chercheur peut se laisser surprendre, dans son cheminement, à la recherche « des preuves qui ne seraient point des flammes » comme l’écrivait Gaston Bachelard dans l’avant-propos de La psychanalyse du feu.
Expo à découvrir à l'espace Arte-Fac de Woluwé
Du 30/04 au 20/5
L'espace Arte-Fac est ouvert du lundi au jeudi de 10h à 18h et le vendredi de 10h à 16h
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Exposition | Art & Rite. Le pouvoir des objets22 Apr25 Jul...
Le pouvoir des objets
Que nous disent les textiles, sculptures, parures, masques, amulettes, instruments de musique, encensoirs ou missels de nos musées ? Quelle était leur fonction avant leur mise sous vitrine et le déracinement de leur contexte ? Comment percevoir l’usage et la densité de vie dont ces objets sont porteurs ?
Passant d’objets cultuels à objets culturels, tous ont pourtant en commun d’avoir participé à un moment de leur histoire à une pratique rituelle accompagnée de croyances, de gestes, de paroles, de sons, d’odeurs… Ces objets s’inscrivent dans un ensemble d’actions qui leur donnent sens au sein d’un espace et d’un temps déterminés dans une société particulière.
L’exposition Art & Rite. Le pouvoir des objets présente en dialogue des objets de diverses cultures (Europe, Congo, Ladakh, Nouvelle-Guinée…). Elle tisse des liens entre objets et humains et entre les visiteurs eux-mêmes. Laissez-vous emporter par la présence, la beauté, l’étrangeté et la multitude d’objets acteurs de pratiques rituelles qui tendent toutes à l’apaisement, à l’équilibre vital, à la mise en ordre des mondes visibles et invisibles.
Les co-commissaires de l'exposition sont Caroline Heering (FIAL / INCA et IRPA) et Anne-Marie Vuillemenot (ESPO / IACCHOS + RSCS).
Cette exposition est née dans le cadre des Séminaires de recherches Art & Rite organisés entre 2018 à 2020 dans le cadre du Projet Louvain2020 «Enseignement et recherche au coeur du Musée-laboratoire», dont la promotrice est Charlotte Langohr (FIAL / INCAL).
L'accès au Musée L et à ses expositions temporaires est gratuit pour les étudiant·es et les membres du personnel UCLouvain. Les musée est ouvert du mardi au vendredi de 9h30 à 17h (nocturne jusque 22h les 3e jeudi du mois) et le weekend de 11h à 17h.
En savoir plusExposition | Art & Rite. Le pouvoir des objets22 Apr25 Jul...Le pouvoir des objets
Que nous disent les textiles, sculptures, parures, masques, amulettes, instruments de musique, encensoirs ou missels de nos musées ? Quelle était leur fonction avant leur mise sous vitrine et le déracinement de leur contexte ? Comment percevoir l’usage et la densité de vie dont ces objets sont porteurs ?
Passant d’objets cultuels à objets culturels, tous ont pourtant en commun d’avoir participé à un moment de leur histoire à une pratique rituelle accompagnée de croyances, de gestes, de paroles, de sons, d’odeurs… Ces objets s’inscrivent dans un ensemble d’actions qui leur donnent sens au sein d’un espace et d’un temps déterminés dans une société particulière.
L’exposition Art & Rite. Le pouvoir des objets présente en dialogue des objets de diverses cultures (Europe, Congo, Ladakh, Nouvelle-Guinée…). Elle tisse des liens entre objets et humains et entre les visiteurs eux-mêmes. Laissez-vous emporter par la présence, la beauté, l’étrangeté et la multitude d’objets acteurs de pratiques rituelles qui tendent toutes à l’apaisement, à l’équilibre vital, à la mise en ordre des mondes visibles et invisibles.
Les co-commissaires de l'exposition sont Caroline Heering (FIAL / INCA et IRPA) et Anne-Marie Vuillemenot (ESPO / IACCHOS + RSCS).
Cette exposition est née dans le cadre des Séminaires de recherches Art & Rite organisés entre 2018 à 2020 dans le cadre du Projet Louvain2020 «Enseignement et recherche au coeur du Musée-laboratoire», dont la promotrice est Charlotte Langohr (FIAL / INCAL).
L'accès au Musée L et à ses expositions temporaires est gratuit pour les étudiant·es et les membres du personnel UCLouvain. Les musée est ouvert du mardi au vendredi de 9h30 à 17h (nocturne jusque 22h les 3e jeudi du mois) et le weekend de 11h à 17h.
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Expo photo | Unequal Scenes - Johnny Miller04 Feb04 Mar...
Exploration photographique des inégalités
Miller a démarré “Unequal Scenes” quand il a déménagé à Cape Town, en Afrique du Sud, et a vu la ségrégation sévère des espaces urbains résultant de l’apartheid via ses images drone. Le projet photographique s’est ensuite étendu sur d’autres métropoles mondiales dans l’espoir de « provoquer un dialogue qui puisse commencer à s’attaquer aux problèmes de l’inégalité et la privation de droits de manière constructive et pacifique.”
Les inégalités de notre environnement social sont souvent cachées et difficiles à voir du sol. Les barrières visuelles, y compris les structures elles-mêmes, nous empêchent de voir les contrastes incroyables qui existent côte à côte dans nos villes. Unequal Scenes utilise un drone pour illustrer l’histoire inscrite de notre monde d’une nouvelle façon. Elle nous permet de découvrir les paysages inégaux dans lesquels nous vivons aujourd’hui.
Johnny Miller est un photographe, activiste et conteur multimédia basé à Cape Town, Afrique du Sud. Il est intéressé par l’exploration des architectures, des déplacements, des problèmes urbains et la justice climatique liée au sol et à l’air.
Plus d’infos sur le projet Unequal Scenes
Cet événement fait partie de la saison culturelle 2020-2021 de l’UCLouvain :
Le pouvoir du récit, l’imaginaire comme réponseEn savoir plusExpo photo | Unequal Scenes - Johnny Miller04 Feb04 Mar...Exploration photographique des inégalités
Miller a démarré “Unequal Scenes” quand il a déménagé à Cape Town, en Afrique du Sud, et a vu la ségrégation sévère des espaces urbains résultant de l’apartheid via ses images drone. Le projet photographique s’est ensuite étendu sur d’autres métropoles mondiales dans l’espoir de « provoquer un dialogue qui puisse commencer à s’attaquer aux problèmes de l’inégalité et la privation de droits de manière constructive et pacifique.”
Les inégalités de notre environnement social sont souvent cachées et difficiles à voir du sol. Les barrières visuelles, y compris les structures elles-mêmes, nous empêchent de voir les contrastes incroyables qui existent côte à côte dans nos villes. Unequal Scenes utilise un drone pour illustrer l’histoire inscrite de notre monde d’une nouvelle façon. Elle nous permet de découvrir les paysages inégaux dans lesquels nous vivons aujourd’hui.
Johnny Miller est un photographe, activiste et conteur multimédia basé à Cape Town, Afrique du Sud. Il est intéressé par l’exploration des architectures, des déplacements, des problèmes urbains et la justice climatique liée au sol et à l’air.
Plus d’infos sur le projet Unequal Scenes
Cet événement fait partie de la saison culturelle 2020-2021 de l’UCLouvain :
Le pouvoir du récit, l’imaginaire comme réponse
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Expo | Chaos07 Feb15 Mar...
Une immersion scientifique et poétique au coeur d'un volcan
"Chaos" est une exposition transdisciplinaire visuelle et sonore qui mêle art et sciences. Elle vous invite à un voyage géopoétique dans l’univers passionnant des volcans et plus précisément dans celui d’une des dernières éruptions marquantes européennes en date : celle du volcan Tajogaite sur l’île de la Palma dans les Canaries en septembre 2021.
L’artiste pluridisciplinaire Caroline Kempeneers, l'artiste plasticienne Mathilde Dujardin, les créateurs sonores Margaret Hermant et Fabien Leseure, le photographe Arturo Rodriguez, l’anthropologue Julie Hermesse et le volcanologue Pierre Delmelle ont tous fait du Tajogaite un terrain d’investigation et vous offrent dans « Chaos » leurs regards entrecroisés.
De la figure mythologique aux émotions qu’un volcan inspire, en passant par la recherche scientifique, dans « Chaos » les disciplines se mêlent pour une plongée volcanique immersive en terre Guanche, où les mots passé/présent/futur ainsi que destruction/nouvelles créations dansent ensemble sur une mer de lave.
Lors de votre visite, pensez à emmener vos écouteurs afin de profiter au mieux des contenus sonores
Ecouter le PODCAST
Lire les entretiens croisés de Caroline Kempeneers et Julie Hermesse parus dans TRACES7
Voir l'interview de Caroline Kempeneers et Julie Hermesse réalisée par Louiz Radio
Lire l'article paru dans l'Avenir
Voir l'émission Le monde d'après de TV Com avec le volcanologue Pierre Delmelle comme invité
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L'exposition Chaos est le fruit du projet du même nom financé par le Fonds Recherche-Création de l'UCLouvain. En savoir plus sur ce projet >En savoir plusExpo | Chaos07 Feb15 Mar...Une immersion scientifique et poétique au coeur d'un volcan
"Chaos" est une exposition transdisciplinaire visuelle et sonore qui mêle art et sciences. Elle vous invite à un voyage géopoétique dans l’univers passionnant des volcans et plus précisément dans celui d’une des dernières éruptions marquantes européennes en date : celle du volcan Tajogaite sur l’île de la Palma dans les Canaries en septembre 2021.
L’artiste pluridisciplinaire Caroline Kempeneers, l'artiste plasticienne Mathilde Dujardin, les créateurs sonores Margaret Hermant et Fabien Leseure, le photographe Arturo Rodriguez, l’anthropologue Julie Hermesse et le volcanologue Pierre Delmelle ont tous fait du Tajogaite un terrain d’investigation et vous offrent dans « Chaos » leurs regards entrecroisés.
De la figure mythologique aux émotions qu’un volcan inspire, en passant par la recherche scientifique, dans « Chaos » les disciplines se mêlent pour une plongée volcanique immersive en terre Guanche, où les mots passé/présent/futur ainsi que destruction/nouvelles créations dansent ensemble sur une mer de lave.
Lors de votre visite, pensez à emmener vos écouteurs afin de profiter au mieux des contenus sonores
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Voir l'interview de Caroline Kempeneers et Julie Hermesse réalisée par Louiz Radio
Lire l'article paru dans l'Avenir
Voir l'émission Le monde d'après de TV Com avec le volcanologue Pierre Delmelle comme invité
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L'exposition Chaos est le fruit du projet du même nom financé par le Fonds Recherche-Création de l'UCLouvain. En savoir plus sur ce projet > -
Expo | Murs d'images d'écrivains02 Feb19 May...
Entrez dans l'univers visuel de grands noms de la littérature et explorez les murs d'images qui ont nourri leur imagination et inspiré leur création.
Tableaux et photographies soigneusement accrochés, cartes postales punaisées dans du liège ou plus récemment images numériques « épinglées » sur un mur virtuel… nous aimons nous entourer d’images, parce qu’elles nous évoquent des souvenirs, parce qu’elles ornent nos intérieurs, parce qu’elles nous inspirent. Ces images sont le reflet de notre histoire personnelle, sociale et culturelle. Qu'en est-il pour les écrivains et écrivaines ? Comment les murs d’images ont-ils influencé et influencent-ils encore aujourd’hui la création littéraire ? À partir de quand une pratique culturelle commune prend-elle un sens particulier pour un homme ou une femme de lettres?
Fondée sur des dossiers d’archives et des témoignages actuels, l’exposition Murs d’images d’écrivains présente plusieurs reconstitutions d’environnements visuels de bureaux d'écriture, montrées pour la plupart pour la première fois. Le parcours met en lumière les différentes formes et fonctions des murs d’images pour un écrivain, avec un éventail de cas variés, de la fin du 19e siècle à nos jours, d’Emile Verhaeren à Hélène Giannecchini et Philippe De Jonckheere, en passant par Roger Martin du Gard, Colette, Christian Dotremont ou encore Louis Aragon.
L'exposition est à découvrir au 1er étage du Musée L du vendredi 2 février au dimanche 19 mai. Visites et activités sont organisées autour de l'exposition. Plus d'infos sur le site du Musée L →
Commissaires : Anne Reverseau, chercheuse qualifiée du FNRS et professeure de littérature à l'UCLouvain, et Jessica Desclaux, chargée de recherches au FNRS.
En savoir plusExpo | Murs d'images d'écrivains02 Feb19 May...Entrez dans l'univers visuel de grands noms de la littérature et explorez les murs d'images qui ont nourri leur imagination et inspiré leur création.
Tableaux et photographies soigneusement accrochés, cartes postales punaisées dans du liège ou plus récemment images numériques « épinglées » sur un mur virtuel… nous aimons nous entourer d’images, parce qu’elles nous évoquent des souvenirs, parce qu’elles ornent nos intérieurs, parce qu’elles nous inspirent. Ces images sont le reflet de notre histoire personnelle, sociale et culturelle. Qu'en est-il pour les écrivains et écrivaines ? Comment les murs d’images ont-ils influencé et influencent-ils encore aujourd’hui la création littéraire ? À partir de quand une pratique culturelle commune prend-elle un sens particulier pour un homme ou une femme de lettres?
Fondée sur des dossiers d’archives et des témoignages actuels, l’exposition Murs d’images d’écrivains présente plusieurs reconstitutions d’environnements visuels de bureaux d'écriture, montrées pour la plupart pour la première fois. Le parcours met en lumière les différentes formes et fonctions des murs d’images pour un écrivain, avec un éventail de cas variés, de la fin du 19e siècle à nos jours, d’Emile Verhaeren à Hélène Giannecchini et Philippe De Jonckheere, en passant par Roger Martin du Gard, Colette, Christian Dotremont ou encore Louis Aragon.
L'exposition est à découvrir au 1er étage du Musée L du vendredi 2 février au dimanche 19 mai. Visites et activités sont organisées autour de l'exposition. Plus d'infos sur le site du Musée L →
Commissaires : Anne Reverseau, chercheuse qualifiée du FNRS et professeure de littérature à l'UCLouvain, et Jessica Desclaux, chargée de recherches au FNRS.
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Expo | Notre Congo (Mons)19 Mar05 Apr...
Crédit: CEC
Du 19 mars au 5 avril 2024, l’exposition Notre Congo/Onze Congo s’installe aux Ateliers des FuCAM.
L'exposition Notre Congo, la propagande coloniale belge dévoilée présente une série de documents iconographiques et audio-visuels datant de la période coloniale belgo-congolaise. A travers l’image et le son, l'ONG Coopération Education Culture (CEC) propose de comprendre comment les différents canaux de propagande ont autrefois fonctionné pour justifier l’entreprise coloniale. Car la redondance et la répétition monotone des slogans sont à la source d’un inconscient collectif lié à la colonisation. Cette exposition questionne aussi la persistance des stéréotypes tant du côté du public belge que congolais.
En partenariat avec le Centre interculturel Mons Borinage (CIMB) et l'ONG Coopération Education Culture (CEC)
En savoir plusExpo | Notre Congo (Mons)19 Mar05 Apr...Crédit: CEC
Du 19 mars au 5 avril 2024, l’exposition Notre Congo/Onze Congo s’installe aux Ateliers des FuCAM.
L'exposition Notre Congo, la propagande coloniale belge dévoilée présente une série de documents iconographiques et audio-visuels datant de la période coloniale belgo-congolaise. A travers l’image et le son, l'ONG Coopération Education Culture (CEC) propose de comprendre comment les différents canaux de propagande ont autrefois fonctionné pour justifier l’entreprise coloniale. Car la redondance et la répétition monotone des slogans sont à la source d’un inconscient collectif lié à la colonisation. Cette exposition questionne aussi la persistance des stéréotypes tant du côté du public belge que congolais.
En partenariat avec le Centre interculturel Mons Borinage (CIMB) et l'ONG Coopération Education Culture (CEC)
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Expo | Confluence. Collectif Muesli08 Mar14 Apr...
Collectif Muesli, Shifters, 2020, Fondation Carrefour des Arts.
Du 8 mars au 14 avril 2024, le Musée L le collectif Muesli exposera au Musée L de nouvelles créations dont une série basée sur une collaboration avec des professeur·es et étudian·es de l’Ecole de Chimie de l’UCLouvain dans le cadre d'un projet recherche-création.
Le Collectif Muesli crée des œuvres perméables à l'environnement, qui subissent une métamorphose visible reflétant des fluctuations invisibles. Jamais deux fois les mêmes, les œuvres sont la confluence de la matière, de l'atmosphère et du temps. Elles se trouvent dans un état de transition constante entre solidité́ et fluidité́ et s'adaptent également aux propriétés architecturales de l’espace qu’elles habitent. L’exposition Confluence présentera des nouvelles pièces du collectif, certaines résultant d’un atelier réalisé en 2022 avec des étudiant·es de l’Ecole de Chimie de l’UCLouvain.
L’exposition sera également l’occasion d’un dialogue avec la collection permanente du Musée L. Elle mettra en relation les œuvres du Collectif Muesli avec celles du musée, les déplaçant habilement pour attirer le public vers des espaces moins visibles.
À travers ce projet, l’exploration des matières sensibles dans leurs multiples états s’entrelace harmonieusement dans un contexte à la fois artistique et scientifique, donnant naissance à une véritable confluence.
Découvrir le travail du Collectif Muesli ↓
Vernissage le jeudi 7 mars 2024 à 18h. Inscrivez-vous par ici →
En savoir plusExpo | Confluence. Collectif Muesli08 Mar14 Apr...Collectif Muesli, Shifters, 2020, Fondation Carrefour des Arts.
Du 8 mars au 14 avril 2024, le Musée L le collectif Muesli exposera au Musée L de nouvelles créations dont une série basée sur une collaboration avec des professeur·es et étudian·es de l’Ecole de Chimie de l’UCLouvain dans le cadre d'un projet recherche-création.
Le Collectif Muesli crée des œuvres perméables à l'environnement, qui subissent une métamorphose visible reflétant des fluctuations invisibles. Jamais deux fois les mêmes, les œuvres sont la confluence de la matière, de l'atmosphère et du temps. Elles se trouvent dans un état de transition constante entre solidité́ et fluidité́ et s'adaptent également aux propriétés architecturales de l’espace qu’elles habitent. L’exposition Confluence présentera des nouvelles pièces du collectif, certaines résultant d’un atelier réalisé en 2022 avec des étudiant·es de l’Ecole de Chimie de l’UCLouvain.
L’exposition sera également l’occasion d’un dialogue avec la collection permanente du Musée L. Elle mettra en relation les œuvres du Collectif Muesli avec celles du musée, les déplaçant habilement pour attirer le public vers des espaces moins visibles.
À travers ce projet, l’exploration des matières sensibles dans leurs multiples états s’entrelace harmonieusement dans un contexte à la fois artistique et scientifique, donnant naissance à une véritable confluence.
Découvrir le travail du Collectif Muesli ↓
Vernissage le jeudi 7 mars 2024 à 18h. Inscrivez-vous par ici →
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Expo | Corps anthropologiques13 Mar30 May...
Vernissage le mardi 12/03/2024
L’exposition Corps Anthropologiques rassemble des clichés ethnographiques de chercheurs et chercheuses du Laboratoire d’Anthropologie Prospective (LAAP) de l’UCLouvain. Elle est organisée conjointement par UCLouvain Culture et le LAAP.
Exposées sur les murs de la ville, les photographies s'offrent au regard des passant.es de mi-mars à fin mai 2024. Un QR code accompagne chacun des clichés et donne accès à des podcasts, des textes, des sons et d’autres images. Ces données et commentaires additionnels témoignent de la complexité et de la diversité culturelle liées à la notion de corps, thématique de l'année culturelle 23-24.
Du corps actif, au corps dansant, résistant ou souffrant, au corps mort ou absent, à celui qui se re-compose quotidiennement, au corps inscrit dans un milieu particulier ou aux prolongements du corps, chaque cliché ouvre un terrain ethnographique et permet la découverte d’humanités multiples.
En savoir plusExpo | Corps anthropologiques13 Mar30 May...Vernissage le mardi 12/03/2024
L’exposition Corps Anthropologiques rassemble des clichés ethnographiques de chercheurs et chercheuses du Laboratoire d’Anthropologie Prospective (LAAP) de l’UCLouvain. Elle est organisée conjointement par UCLouvain Culture et le LAAP.
Exposées sur les murs de la ville, les photographies s'offrent au regard des passant.es de mi-mars à fin mai 2024. Un QR code accompagne chacun des clichés et donne accès à des podcasts, des textes, des sons et d’autres images. Ces données et commentaires additionnels témoignent de la complexité et de la diversité culturelle liées à la notion de corps, thématique de l'année culturelle 23-24.
Du corps actif, au corps dansant, résistant ou souffrant, au corps mort ou absent, à celui qui se re-compose quotidiennement, au corps inscrit dans un milieu particulier ou aux prolongements du corps, chaque cliché ouvre un terrain ethnographique et permet la découverte d’humanités multiples.
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Expo | Corps&Play20 Mar02 May...
Le thème de l’année culturelle 2023-2024 de l’UCLouvain est le corps. Une année qui invite à explorer la richesse et la complexité du corps humain, en mettant en avant les représentations artistiques et médiatiques qui célèbrent et questionnent le rapport que nous avons à notre propre corps, ainsi qu'à celui des autres.
Dans ce contexte, UCLouvain Culture et le Louvain Game Lab de l’UCLouvain présentent une exposition sur les corps et leur représentation dans les jeux vidéo et les mondes virtuels.
L'exposition Corps&Play est une odyssée à travers l'évolution des rapports entre nos corps et les univers vidéoludiques. À travers quatre espaces, cette exposition vous invite à parcourir l'histoire, les transformations, et les révolutions qui ont influencé notre interaction corporelle avec le jeu vidéo.
- Les prémices : Jeux sans corps
Découvrez les origines, où les jeux n'étaient que de simples pixels et vecteurs. Ici, les premiers pionniers comme Spacewar! et Pong ont posé les bases d'une révolution, sans pour autant incorporer la représentation humaine. - Corps incarné : L'Avatar choisi
Avancez dans l'espace où le choix de l'avatar permet une première identification dans le jeu. Cette zone explore l'évolution des avatars, depuis les premiers personnages stéréotypés jusqu'à la diversification représentative, marquant l'ère où le jeu vidéo commence à s'interroger sur le genre et l'identité. - Corps configuré : La personnalisation
Entrez dans une aire dédiée à la personnalisation poussée de l'avatar, où le jeu devient un miroir de nos désirs et aspirations. De la simple sélection de personnages à la création détaillée dans des univers aussi variés que les jeux de sport, les métavers, ou les RPG, cette section met en lumière notre désir de contrôle et d'expression individuelle. - Corps joué : Activité corporelle exigée
Enfin, explorez comment le jeu est sorti des écrans pour investir notre espace physique. De la Wii à la réalité virtuelle, cette zone aborde l'union entre mouvement humain et expérience ludique, soulignant l'évolution des technologies et des interfaces qui ont rendu ces interactions possibles.
L'expo CORPS&PLAY c'est également l'occasion d'expérimenter une série de jeux RETRO comme PacMan (sur une borne originale), Tomb Raider, Wii Sport et de découvrir le cabinet de curiosités des ancêtres des jeux vidéo actuels.
Enfin, l'exposition est une invitation à réfléchir sur notre relation avec les mondes numériques. Comment nos avatars deviennent-ils le prolongement de nos identités ? Comment les technologies de jeu influencent-elles notre perception du corps et de l'espace ?
Exposition réalisée en partenariat avec le Louvain Game Lab, l'asbl RetroLudix et le collectionneur Christophe Degraeve.
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Ils en parlentVoir l'interview de Thibault Philippette et Christophe Degraeve
En savoir plusExpo | Corps&Play20 Mar02 May...Le thème de l’année culturelle 2023-2024 de l’UCLouvain est le corps. Une année qui invite à explorer la richesse et la complexité du corps humain, en mettant en avant les représentations artistiques et médiatiques qui célèbrent et questionnent le rapport que nous avons à notre propre corps, ainsi qu'à celui des autres.
Dans ce contexte, UCLouvain Culture et le Louvain Game Lab de l’UCLouvain présentent une exposition sur les corps et leur représentation dans les jeux vidéo et les mondes virtuels.
L'exposition Corps&Play est une odyssée à travers l'évolution des rapports entre nos corps et les univers vidéoludiques. À travers quatre espaces, cette exposition vous invite à parcourir l'histoire, les transformations, et les révolutions qui ont influencé notre interaction corporelle avec le jeu vidéo.
- Les prémices : Jeux sans corps
Découvrez les origines, où les jeux n'étaient que de simples pixels et vecteurs. Ici, les premiers pionniers comme Spacewar! et Pong ont posé les bases d'une révolution, sans pour autant incorporer la représentation humaine. - Corps incarné : L'Avatar choisi
Avancez dans l'espace où le choix de l'avatar permet une première identification dans le jeu. Cette zone explore l'évolution des avatars, depuis les premiers personnages stéréotypés jusqu'à la diversification représentative, marquant l'ère où le jeu vidéo commence à s'interroger sur le genre et l'identité. - Corps configuré : La personnalisation
Entrez dans une aire dédiée à la personnalisation poussée de l'avatar, où le jeu devient un miroir de nos désirs et aspirations. De la simple sélection de personnages à la création détaillée dans des univers aussi variés que les jeux de sport, les métavers, ou les RPG, cette section met en lumière notre désir de contrôle et d'expression individuelle. - Corps joué : Activité corporelle exigée
Enfin, explorez comment le jeu est sorti des écrans pour investir notre espace physique. De la Wii à la réalité virtuelle, cette zone aborde l'union entre mouvement humain et expérience ludique, soulignant l'évolution des technologies et des interfaces qui ont rendu ces interactions possibles.
L'expo CORPS&PLAY c'est également l'occasion d'expérimenter une série de jeux RETRO comme PacMan (sur une borne originale), Tomb Raider, Wii Sport et de découvrir le cabinet de curiosités des ancêtres des jeux vidéo actuels.
Enfin, l'exposition est une invitation à réfléchir sur notre relation avec les mondes numériques. Comment nos avatars deviennent-ils le prolongement de nos identités ? Comment les technologies de jeu influencent-elles notre perception du corps et de l'espace ?
Exposition réalisée en partenariat avec le Louvain Game Lab, l'asbl RetroLudix et le collectionneur Christophe Degraeve.
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Ils en parlentVoir l'interview de Thibault Philippette et Christophe Degraeve
- Les prémices : Jeux sans corps