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Bibliothèque art et migration

cedie | Louvain-la-Neuve

Les étudiant·e·s du cours Droit et migrations ont chacun·e choisi une œuvre d’art abordant les réalités migratoires, en tissant un lien entre celle-ci et les règles juridiques explorées en cours.  

L’exposition complète des près de 100 œuvres est disponible ci-dessous, avec toutes les références des sons, des images et des écrits choisis. 

Cliquez sur une image pour accéder au texte complet.

Une sélection de 15 oeuvres est exposée dans le hall du bâtiment Thomas More jusqu'au 30 juin 2025.

En silhouette, une personne en uniforme pose le bras sur une personne voilée. Ils se trouvent sur le tarmac d'un aéroport, un avion derrière euxScène d'extérieur, pendant la nuit. Un jeune homme sourit en examinant un papier déplié qu'il tient dans les mains. Il porte une casquette et un singlet.Couverture du livre "Les raisins de la colère" de John Steinbeck. Une peinture à l'eau de voitures et chariots remplis qui circulent sur une route sur fond de paysage désertique. A l'avant-plan, un homme vêtu d'une salopette et d'une chemise dépareillée se tient de dos, sa femme assise au sol à sa droite, appuyée sur sa main gauche. Son fils à sa gauche, assis les jambes croisées. Tous regardent le convoi.
Couverture du livre "In the sea there are crocodiles" de Fabio Geda. Illustration comme des couches successives de papier coloré dans les tons turquoise. Des vagues sont découpées dans ces couches, entrecoupées de petits aperçus de crocodiles de couleur plus claire. Au centre, une personne se tient de dos, en tout petit, sur une portion de terre devant la mer.Couverture du livre "Si la lune éclaire nos pas" de Nadia Hashimi. Illustration. Des motifs géométriques en cercle émanent de la lune qui éclaire des montagnes en arrière-plan. En silhouette à l'avant-plan, un garçon tient la main d'un enfant, une femme à ses côtés. Tous sont tournés vers la lune.Photo d'une sculpture. D'un lampadaire émergent trois lampes qui se courbent vers le sol comme un saule pleureur. Les courbes métalliques sont accompagnées de fioritures, accentuant l'idée d'un arbre.
Une main tient un marqueur rouge et trace une ligne sur une carte du monde entre l'Espagne et la France. La ligne zigzague entre plusieurs pays européens et africains.Sur fond de steppe aux couleurs froides, deux jeunes marchent d'un pas décidé avec leur sac à dos.Sur fond clair, le mot "FLEE" apparaît en grand. Les lettres sont remplis par un visage d'homme à l'air triste. Il a les cheveux courts et une barbe légère. Devant les lettres, une petite fille sautille joyeusement
Un dessin aux traits griffonés. Un jeune femme à l'avant-plan à l'air sérieux nous fait face, vêtue de rouge. Elle porte un foulard léger sur la tête et autour du cou. Derrière elles, on aperçois plusieurs personnes agenouillées, les mains en l'air ou derrère la tête. Derrière eux, un grand nuage et un ciel jaune pale.Deux jeunes hommes en T-shirt, veste autour de la taille, marchent ensemble dans des herbes hautes, la tête baissée. L'image est délavée et dans des tons jaune, rose et bleu pâle.Dans une grande pièce, des centaines de valises de toutes tailles sont suspendues depuis le plafond, chacune à un fil rouge. Il y en a tellement qu'il est difficile de voir au-delà des fils.
Image abstraite d'un panneau usé qui contient des traces de peinture vive et un large trait noir.Vue d'en haut d'un petit bateau rempli de passagers qui vient vers nous. Derrière eux, une plage et encore derrière des rochers et des arbres.Une statue de la justice, les yeux bandés et tenant une balance, est stylisée dans les tons roses. Au-dessus, les mots "Grand Pays" sont inscrits.
Tableau "Le radeau de la Méduse". Sur un radeau en mauvais état, dans une mer houleuse, un groupe de personnes s'affaire à faire des grands signes en hissant leurs vêtements à un bâteau à peine visible. Beaucoup tendent les mains sans poouvoir se lever. Plus loin devant, certains ne bougent pas du tout.